Les ouvertures des deux opérettes d'Offenbach,
Un Mari à la porte et de
Le Financier et le savetier, sont de très jolies valses, mais qui n'ont aucun rapport musical avec le reste de la pièce. Ce qui me fait envisager que ce sont peut-être des valses de jeunesse qu'Offenbach aurait réutilisées à cette occasion. Mais, personnellement, je n'ai jamais vu d'esquisses qui pourraient étayer ce genre d'hypothèse.
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